Bohemian rhapsody, de Bryan Singer (2018)

30/10 : Bohemian rhapsody, de Bryan Singer avec Rami Malek, Lucy Boynton, Aaron McCusker, Tom Hollander, Aiden Gillen, Allen Leech, Mike Myers, ...

Avant-première à l'UGC de Bercy.

Synopsis

Bohemian Rhapsody retrace le destin extraordinaire du groupe Queen et de leur chanteur emblématique Freddie Mercury, qui a défié les stéréotypes, brisé les conventions et révolutionné la musique. Du succès fulgurant de Freddie Mercury à ses excès, risquant la quasi-implosion du groupe, jusqu’à son retour triomphal sur scène lors du concert Live Aid, alors qu’il était frappé par la maladie, découvrez la vie exceptionnelle d’un homme qui continue d’inspirer les outsiders, les rêveurs et tous ceux qui aiment la musique.

Sortie nationale : 31 Octobre 2018

Mon avis ***

Je ne connaissais pas vraiment Freddie Mercury avant de voir cette année un reportage sur Arte, hormis ce que tout le monde croit savoir.

Du coup j'étais curieuse du rendu de ce biopic, notamment avec l'interprète Rami Malek (vu dans Mr Robot). Le peu que j'ai suivi de la promo, montrait une certaine ressemblance entre eux sur certaines photos.

Au final, le rendu est intéressant mais inégal. Mettant en avant Freddie Mercury sans n'oublier le groupe Queen lui-même. Un détail m'a quand même dérangé, la taille de Rami Malek est très loin d'être celle de Freddie Mercury et sur les plans larges j'étais un peu gênée. Confirmation avec les images d'archives dans le générique de fin. Mais je pense que ce sentiment est du au fait d'avoir vu le documentaire et donc d'avoir un souvenir assez récent. On sent aussi le montage d'images de trois réalisateurs différents. En effet Bryan Singer a été exclu du tournage suite à des problème d'absences injustifiées et d'entente avec le comédien Rami Malek.

La scène du concert de Wembley est plutôt réussi. On devine le tournage en studio sur certains plans et les plans aériens sont forcément numériques mais l'émotion est bien là. On se dit qu'être là-bas a du être une expérience unique.

Niveau casting, la présence de comédiens assez familier du grand public notamment dans les seconds rôles sans qu'ils ne volent la vedette au comédien principal (Aiden Gillen, Tom Hollander, Lucy Boynton...). J'ai par exemple passé une bonne partie du film à m'interroger sur l'identité familière de l'interprète de Paul Prenter, pour me rappeler l'avoir vu dans la série britannique Downton Abbey.  Par contre je n'ai pas du tout reconnu Mike Myers sous son maquillage pour le rôle du producteur Ray Foster.

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