18/02 : Maggie a un plan (Maggie's plan), de Rebecca Miller avec Greta Gerwig, Ethan Hawke, Julianne Moore, Bill Hader, Maya Rudolph, Travis Fimmel...
Avant-première à l'UGC des Halles suivi d'une rencontre avec la réalisatrice et de la comédienne Greta Gerwig.
Synopsis
Maggie, trentenaire, éternelle célibataire et new-yorkaise, a bien
l’intention de faire un bébé toute seule, mais elle rencontre John,
professeur anthropologie et écrivain en devenir, dont elle tombe
immédiatement amoureuse.John, lui, n’est pas très heureux en mariage
avec la tumultueuse Georgette qui ne vit que pour sa carrière. Il la
quitte pour Maggie, qui attend désormais un bébé, mais après quelques
années de vie commune, Maggie a un autre plan en tête et aimerait jeter à
nouveau John dans les bras de Georgette…
Sortie le 27 avril 2016
Mon avis ***
Les personnages interprétés, écrits et/ou les deux, par Greta Gerwig ont tous un petit quelque chose en commun. Au point que parfois on pourrait en venir à les trouver identiques et très proche de leur interprètes. Celui de Maggie ne fait pas exception à cette règle qui semble "fortuitement" établit. Un petit coté femme perdue qui pourtant sait ce qu'elle veut. Une "Gaston Lagaffe" au féminin.
Rebecca Miller nous a confié que son film avait un petit coté "Conte de fée".
Quand arrive la fin du récit on peut comprendre cette allusion : Au début, Maggie est comme touchée par une malédiction, ses relations avec les hommes n’excèdent jamais 6 mois sauf avec son meilleur ami et ex du lycée. Alors qu'elle est sur le point de réaliser son souhait de procréer avec une pipette et un donneur de sperme volontaire, elle rencontre un écrivain marié mais malheureux en ménage. Déjà on a la trame : la princesse et la malédiction, le roi et la reine. Très vite on soupçonne que la petite Lily n'est peut être pas la fille de l'écrivain. Et peut être l'esquisse d'un prince qui fait son apparition comme tel.
La petite comédienne Ida Rohatyn est la fille du compositeur Michael Rohatyn, difficile à diriger mais phénoménale quand le bon moment se présentait. La réalisatrice voulait considérer les enfants sous une dynamique de troupe qui englobait les parents.
Les adultes du film ont chacun à un moment besoin de réaliser qu'ils peuvent se prendre en main sans dépendre d'une autre personne.
Rebecca Miller nous a confié que son film avait un petit coté "Conte de fée".
Quand arrive la fin du récit on peut comprendre cette allusion : Au début, Maggie est comme touchée par une malédiction, ses relations avec les hommes n’excèdent jamais 6 mois sauf avec son meilleur ami et ex du lycée. Alors qu'elle est sur le point de réaliser son souhait de procréer avec une pipette et un donneur de sperme volontaire, elle rencontre un écrivain marié mais malheureux en ménage. Déjà on a la trame : la princesse et la malédiction, le roi et la reine. Très vite on soupçonne que la petite Lily n'est peut être pas la fille de l'écrivain. Et peut être l'esquisse d'un prince qui fait son apparition comme tel.
La petite comédienne Ida Rohatyn est la fille du compositeur Michael Rohatyn, difficile à diriger mais phénoménale quand le bon moment se présentait. La réalisatrice voulait considérer les enfants sous une dynamique de troupe qui englobait les parents.
Les adultes du film ont chacun à un moment besoin de réaliser qu'ils peuvent se prendre en main sans dépendre d'une autre personne.
Photos (Qualité volontairement basse)
Prix et Nominations
Sundance Film Festival 2016
The Spotlight program
Berlinade 2016
Panorama special
TIFF40 2015
Gala presentations
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