10/04 : Kings, de Deniz Gamze Ergüven avec Halle Berry, Daniel Craig, Kaalan Walker, Lamar Johnson ...
Avant-première à l'UGC des Halles en présence de la réalisatrice.
Synopsis
1992, dans un quartier populaire de Los Angeles.
Millie s’occupe de sa famille et d’enfants qu’elle accueille en attendant leur adoption.
Avec amour, elle s’efforce de leur apporter des valeurs et un minimum de confort dans un quotidien parfois difficile.
A la télévision, le procès Rodney King bat son plein. Lorsque les émeutes éclatent, Millie va tout faire pour protéger les siens et le fragile équilibre de sa famille.
Millie s’occupe de sa famille et d’enfants qu’elle accueille en attendant leur adoption.
Avec amour, elle s’efforce de leur apporter des valeurs et un minimum de confort dans un quotidien parfois difficile.
A la télévision, le procès Rodney King bat son plein. Lorsque les émeutes éclatent, Millie va tout faire pour protéger les siens et le fragile équilibre de sa famille.
Sortie nationale : 11 Avril 2018
Mon avis ***
Le procès devant juger les 4 policiers ayant battu un dénommé
Rodney Kings est connu même de part chez nous. Le verdict ayant acquitté
les policiers et engendré les plus grosses émeutes que L.A. n'ai jamais
connu.
Le film situe son récit 7 semaines avant celles-ci. Le récit commence avec la mort accidentelle d'une jeune noire abattue par la propriétaire d'un supérette. On découvre Millie et "ses" enfants. En fond, la gronde monte.
Le film réussi à mêler au drame un peu de légèreté.
Daniel Craig n'est pas le personnage que j'attendais compte tenu du contexte. Je l'imaginais bien dans le camps des flics, mais non.
Halles Berry est douce, pleine d'amour pour ces enfants qu'elle recueille. C'est un peu le système de la débrouille. Elle compte beaucoup sur Jesse (Lamar Johnson) l'aîné et à priori son fils biologique. L'équilibre précaire va s'effondrer avec l'arrivée de William (Kaalan Walker) et le contexte tendu de l'extérieur.
Le film situe son récit 7 semaines avant celles-ci. Le récit commence avec la mort accidentelle d'une jeune noire abattue par la propriétaire d'un supérette. On découvre Millie et "ses" enfants. En fond, la gronde monte.
Le film réussi à mêler au drame un peu de légèreté.
Daniel Craig n'est pas le personnage que j'attendais compte tenu du contexte. Je l'imaginais bien dans le camps des flics, mais non.
Halles Berry est douce, pleine d'amour pour ces enfants qu'elle recueille. C'est un peu le système de la débrouille. Elle compte beaucoup sur Jesse (Lamar Johnson) l'aîné et à priori son fils biologique. L'équilibre précaire va s'effondrer avec l'arrivée de William (Kaalan Walker) et le contexte tendu de l'extérieur.
Photos
Prix et Nominations (échantillon)
Festival International du Film de Toronto 2017
1 nomination : Galas Presentations - Avant-premières
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