14/12 : Le goût des merveilles, d'Eric Besnard avec Virginie Efira, Benjamin Lavernhe, Lucie Fagedet, ...
Avant-première à l'UGC Bercy suivie d'une rencontre entre les spectateurs, le réalisateur et le comédien Benjamin Lavernhe.
Synopsis
Au cœur de la Drôme provençale, Louise élève seule ses deux enfants et
tente de préserver l’exploitation familiale. Un soir, elle manque
d’écraser un inconnu au comportement singulier. Cet homme se révèle vite
différent de la plupart des gens. Et sa capacité d’émerveillement
pourrait bien changer la vie de Louise et de sa famille.
Sortie le 16 décembre 2015
Mon avis ***
Un homme différent fait la rencontre assez percutante d'une femme un peu "au bout du rouleau".
Le droit à la différence, le syndrome d'Asperger, une comédie romantique, sont les pivots du récit, le tout au milieu de vergers et de ruches.
Des images et des paysages magnifiques. Un homme à part, ouvert à toutes les sensibilités, voir top dans certaines situations.
Une agricultrice veuve qui jongle entre ses deux enfants et sa exploitation agricole qui périclite.
Un maison douillette, une libraire chaleureuse, des champs synonymes de liberté et des cieux couverts de nuages qui incite à l'imagination.
La rencontre : Beau moment que cette rencontre après la projection avec le réalisateur et le comédien Benjamin Lavernhe.
Anecdote : En entrant dans la salle, j'ai cru croisé Clovis Cornillac qui attendait près des portes discrètement. Intriguée je suis demandée son rapport avec le film. Après la projection et quelques questions de spectateurs aux invités, une voix singulière s’élève dans la salle. Pas très loin derrière moi, Clovis Cornillac (c'était bien lui), qui a assisté à la projection, félicite Eric Besnard et Banjamin Lavernhe. On apprend alors que le rôle de Pierre a été écrit au départ pour Clovis mais que sa nouvelle activité de réalisateur avait changé cette donnée ne pouvant se libérer. Mais qu'il était resté proche du projet.
Le droit à la différence, le syndrome d'Asperger, une comédie romantique, sont les pivots du récit, le tout au milieu de vergers et de ruches.
Des images et des paysages magnifiques. Un homme à part, ouvert à toutes les sensibilités, voir top dans certaines situations.
Une agricultrice veuve qui jongle entre ses deux enfants et sa exploitation agricole qui périclite.
Un maison douillette, une libraire chaleureuse, des champs synonymes de liberté et des cieux couverts de nuages qui incite à l'imagination.
La rencontre : Beau moment que cette rencontre après la projection avec le réalisateur et le comédien Benjamin Lavernhe.
Anecdote : En entrant dans la salle, j'ai cru croisé Clovis Cornillac qui attendait près des portes discrètement. Intriguée je suis demandée son rapport avec le film. Après la projection et quelques questions de spectateurs aux invités, une voix singulière s’élève dans la salle. Pas très loin derrière moi, Clovis Cornillac (c'était bien lui), qui a assisté à la projection, félicite Eric Besnard et Banjamin Lavernhe. On apprend alors que le rôle de Pierre a été écrit au départ pour Clovis mais que sa nouvelle activité de réalisateur avait changé cette donnée ne pouvant se libérer. Mais qu'il était resté proche du projet.
Photos (Qualité volontairement basse)
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