19/10 : Borg/McEnroe, de Janus Metz Pedersen avec Shia LaBeouf, Sverrir Gudnason, Stellan Skarsgård...
Avant-première à l'UGC des Halles en présence du comédien Sverrir Gudnason et du distributeur français.
Synopsis
BORG/McENROE est un film sur une des plus grandes icônes du monde, Björn Borg, et son principal rival, le jeune et talentueux John McEnroe, ainsi que sur leur duel légendaire durant le tournoi de Wimbledon de 1980. C’est l’histoire de deux hommes qui ont changé la face du tennis et sont entrés dans la légende, mais aussi du prix qu’ils ont eu à payer.
Sortie nationale : 8 Novembre 2017
Mon avis ****
Le film retrace le tournoi de Wimbledon de 1980. Celui où les deux joueurs se sont affrontés pour la 1ère fois et en finale. Et en parallèle on découvre des brides de leur enfance, des moments qui ont forgés celui qu'ils sont à ce tournoi. Mais aussi la pression quotidienne de leur entourage ou des médias.
J'ai aimé les voir en apprendre plus l'un sur l'autre tout le long du tournoi, que ce soit par d'autres joueurs, les matchs intermédiaires ou encore sur le terrain l'un en face de l'autre.
L'image qu'ils véhiculaient pour le public et les médias semble mal comprise, du moins c'est ce que je retiens au sortir du film. Chacun a créé un personnage comme une carapace pour gérer la tension et peu de personnes ont vu à travers. Pourtant l'un comme l'autre semble s'être reconnu. Ce qui explique peut-être pourquoi ils sont devenus à l'issu du dernier Wimbledon (1981) de Borg et la victoire de McEnroe de très très bon amis.
Coté casting, je découvre le comédien Sverrir Gudnason et je confirme que j'apprécie le jeu de Shia Laboeuf (hormis à ses débuts dans Transformers). Tuva Novotny ressemble à si méprendre à sa compatriote, Noomi Rapace, avec ce rôle assez introverti, du coup je m'amusais de la voir parler sa langue maternelle alors que me trompé de femme. Stellan Skargard est poignant dans son rôle d'entraîneur / mentor.
Photos
J'ai aimé les voir en apprendre plus l'un sur l'autre tout le long du tournoi, que ce soit par d'autres joueurs, les matchs intermédiaires ou encore sur le terrain l'un en face de l'autre.
L'image qu'ils véhiculaient pour le public et les médias semble mal comprise, du moins c'est ce que je retiens au sortir du film. Chacun a créé un personnage comme une carapace pour gérer la tension et peu de personnes ont vu à travers. Pourtant l'un comme l'autre semble s'être reconnu. Ce qui explique peut-être pourquoi ils sont devenus à l'issu du dernier Wimbledon (1981) de Borg et la victoire de McEnroe de très très bon amis.
Coté casting, je découvre le comédien Sverrir Gudnason et je confirme que j'apprécie le jeu de Shia Laboeuf (hormis à ses débuts dans Transformers). Tuva Novotny ressemble à si méprendre à sa compatriote, Noomi Rapace, avec ce rôle assez introverti, du coup je m'amusais de la voir parler sa langue maternelle alors que me trompé de femme. Stellan Skargard est poignant dans son rôle d'entraîneur / mentor.
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Prix et Nominations (échantillon)
Festival International du Film de Toronto 2017
1 nomination : Film d'ouverture
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