jeudi 12 octobre 2006

Une Vérité qui dérange, d'Al Gore (2006)


12/10/2006 : Mardi après-midi, à la première séance, j'ai vu Une vérité qui dérange d’Al Gore.

Synopsis
L'humanité est assise sur une bombe à retardement. Les savants du monde entier s'accordent pour dire qu'il nous reste à peine dix ans pour éviter une catastrophe planétaire - un dérèglement majeur du système climatique qui entraînerait des perturbations météorologiques extrêmes, des inondations, de longues périodes de sécheresse, des vagues de chaleur meurtrières.
Cette catastrophe d'une ampleur sans précédent, nous en serions les premiers responsables ; nous seuls pouvons encore l'éviter.
Plutôt que de sonner le tocsin de l'apocalypse ou de céder à la délectation morose, Une vérité qui dérange a choisi d'illustrer et de relayer l'action et le combat passionné d'un homme, l'ancien Vice-président Al Gore, qui depuis cinq ans sillonne les États-Unis pour persuader ses concitoyens de l'urgente nécessité de réagir à cette crise.

Mon avis **
Le premier sentiment en sortant du film c'est que la planète semble très mal barrée. C'est un documentaire mêlant la vie de l'ex-futur Président des États-Unis Al Gore et son périple de conférences à travers le monde sur le thème de la lutte contre le réchauffement de la planète. Quand on regarde tous ces graphiques, on se demande comment on n'en parle pas plus et pourquoi ça ne semble pas une priorité pour les différents gouvernements du monde. Le film est un peu décousu, la conférence se mêle aux morceaux de vie de l'ancien Vice-Président. Certes ces moments expliquent les différents engagements pris par Al Gore au cours de sa carrière politique. On comprend aussi le scandale de son éviction de la Présidence. Car avec les idées écologiques qu'il prônait et qui sont toujours d'actualité, il aurait bousculé l'Amérique et surtout les lobbyistes du pétrole, de l'automobile et du tabac. Ceux-ci ne pouvaient pas permettre cela et ont donc aidé Bush à gagner cout que cout la Présidence par tous les moyens même litigieux.

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