11/09 : Magic in the Moonlight, de Woody Allen avec Colin Firth, Emma Stonne, Eileen Atkins, Marcia Gay Harden, Hamish Linklater, ...
Avant-première à l'UGC Bercy, la projection fut précédée d'un tapis rouge et de la présentation du film par le distributeur Mars Distribution en présence des acteurs Colin Firth et Emma Stone.
Synopsis
Le prestidigitateur chinois Wei Ling Soo est le plus célèbre magicien de son époque, mais rares sont ceux
à savoir qu’il s’agit en réalité du nom de scène de Stanley Crawford :
cet Anglais arrogant et grognon a une très haute estime de lui-même,
mais ne supporte pas les soi-disant médiums qui prétendent prédire
l’avenir. Se laissant convaincre par son fidèle ami Howard Burkan,
Stanley se rend chez les Catledge qui possèdent une somptueuse propriété
sur la Côte d’Azur : il y fait la connaissance de la mère, Grace, du
fils, Brice, et de la fille, Caroline. Il se fait passer pour un homme
d’affaires, du nom de Stanley Taplinger, dans le but de confondre la
jeune et ravissante Sophie Baker qui séjourne chez les Catledge avec sa
mère. En effet, Sophie a été invitée par Grace, convaincue que la jeune
fille pourra lui permettre d’entrer en contact avec son défunt mari. Or,
dès son arrivée dans la propriété, Brice est tombé fou amoureux d’elle.
Dès qu’il rencontre Sophie, Stanley fait bien peu de cas de cette créature aussi frêle qu’insignifiante qu’il pense démasquer en un rien de temps. Autant dire qu’il se moque de la crédulité des Catledge ! Pourtant, à sa grande surprise, Sophie prouve qu’elle a des dons de télépathie et accomplit des exploits surnaturels qui dépassent l’entendement. Sans explication rationnelle, Stanley est mal à l’aise et stupéfait… Il ne tarde pas à confier à sa chère tante Vanessa qu’il commence à se demander si les pouvoirs de Sophie ne sont pas réels. Dans cette hypothèse, Stanley comprend qu’alors tout deviendrait possible, et que le monde serait plus heureux, mais que toutes ses certitudes en seraient ébranlées… Désormais, la magie – dans tous les sens du terme – va contaminer les personnages et bouleverser leur vie. Mais n’avons-nous pas tous, plus ou moins, envie d’y croire ?
Dès qu’il rencontre Sophie, Stanley fait bien peu de cas de cette créature aussi frêle qu’insignifiante qu’il pense démasquer en un rien de temps. Autant dire qu’il se moque de la crédulité des Catledge ! Pourtant, à sa grande surprise, Sophie prouve qu’elle a des dons de télépathie et accomplit des exploits surnaturels qui dépassent l’entendement. Sans explication rationnelle, Stanley est mal à l’aise et stupéfait… Il ne tarde pas à confier à sa chère tante Vanessa qu’il commence à se demander si les pouvoirs de Sophie ne sont pas réels. Dans cette hypothèse, Stanley comprend qu’alors tout deviendrait possible, et que le monde serait plus heureux, mais que toutes ses certitudes en seraient ébranlées… Désormais, la magie – dans tous les sens du terme – va contaminer les personnages et bouleverser leur vie. Mais n’avons-nous pas tous, plus ou moins, envie d’y croire ?
Sortie en France le 22 Octobre 2014
Mon avis ***
Dès le générique de début, on situe la période du récit avec la police des caractères et la musique jazzy : les années 20.
Woody Allen nous bringuebale de scepticisme en illumination avec son personnage de Stanley Crawford (Colin Firth). Stanley est râleur et tristou à l'instar de Sophie (Emma Stone) qui est gracile et lumineuse. Opposition de ces deux personnages se fait déjà dans le paraître. Par contre j'ai trouvé que l'alchimie entre eux deux ne fonctionnait pas toujours. Le meilleur moment étant celui de l'observatoire.
Je dirais que les principaux intérêts du film sont ses savoureux dialogues et sa musique. Voir la scène de la prière de Stanley, un monologue dont la chute est hilarante. Ou encore la conversation entre Stanley et sa Tante Vanessa à la fin. A force de mots, elle manipule son neveu adroitement pour qu'il exprime ses sentiments pour la jeune femme et qu'il arrête de se voiler la face.
Des thèmes chers à Woody Allen sont à nouveau présents dans ce long métrage : la magie (Le scorpion de jade, Scoop) , la musique jazzy, la France des années 20 (Midnight in Paris).
Woody Allen nous bringuebale de scepticisme en illumination avec son personnage de Stanley Crawford (Colin Firth). Stanley est râleur et tristou à l'instar de Sophie (Emma Stone) qui est gracile et lumineuse. Opposition de ces deux personnages se fait déjà dans le paraître. Par contre j'ai trouvé que l'alchimie entre eux deux ne fonctionnait pas toujours. Le meilleur moment étant celui de l'observatoire.
Je dirais que les principaux intérêts du film sont ses savoureux dialogues et sa musique. Voir la scène de la prière de Stanley, un monologue dont la chute est hilarante. Ou encore la conversation entre Stanley et sa Tante Vanessa à la fin. A force de mots, elle manipule son neveu adroitement pour qu'il exprime ses sentiments pour la jeune femme et qu'il arrête de se voiler la face.
Des thèmes chers à Woody Allen sont à nouveau présents dans ce long métrage : la magie (Le scorpion de jade, Scoop) , la musique jazzy, la France des années 20 (Midnight in Paris).
Promo
Photos (Qualité volontairement réduite pour éviter le vol de photos)
Prix et Nominations
Festival du Cinéma Américain de Deauville 2014
Film d'Ouverture
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